Depuis la première version de SAP HANA, cette base de données se distingue par un stockage des données en RAM pour un accès plus rapide des utilisateurs aux données. Les données sont néanmoins stockées également sur disque dur pour des raisons de sécurité. Ce type de base de données est appelé IMDB (In Memory DataBase).

Cette révolution a été possible grâce aux avancées technologiques notamment le stockage des données en colonne et la baisse des coûts matériels comme la RAM.

SAP HANA requiert un matériel bien particulier pour pouvoir s’exécuter dans les meilleures conditions. En partenariat avec les constructeurs, SAP a proposé des appliances (matériel plus OS et HANA). Le concept de boite noire prêt à l’utilisation n’a pas attiré beaucoup de clients SAP, surtout que le prix était assez important.

SAP a donc défini un cahier des charges matériels pour permettre aux clients d’installer SAP HANA sur leur propre infrastructure en mode TDI (Tailored Datacenter Integration).

SAP HANA est également certifié pour fonctionner sur des solutions CLOUD bien définies comme AWS et MS AZURE.

Voyons maintenant l’architecture SAP HANA :

L’index server est le composant principal de SAP HANA, Il traite les requêtes et stocke les données.

Le Name Server gère la topologie du paysage HANA.

SAP n’a pas cessé d’améliorer son produit en proposant des solutions de déploiement comme le multitenant database container. L’objectif est de pouvoir disposer de plusieurs base de données indépendantes au sein d’une même instance HANA.

SAP propose également des solutions de scale-up ou scale-out pour offrir plus de capacité de calcul et de stockage.