GARTNER annonce qu’en 2017, plus d’un tiers des applications d’entreprises seront sur le cloud.

Un véritable cloud ou un datacenter appelé CLOUD pour surfer sur la vague du CLOUD :

entreprise doit se poser cinq questions :
Quel est le mode de facturation ?

En cloud, La facturation doit être en fonction de la consommation et sans ticket d’entrée. C’est d’ailleurs ce qui est proposé par les leader du domaine CLOUD mais pas par certains éditeurs qui malheureusement nomment leur offre Enterprise Cloud. Ces dernières sont en fait des offres d’hébergement classique sans aucun avantage du CLOUD.

Comment la solution CLOUD répond-elle à mes attentes en termes de sécurité ?

Les Solutions CLOUD d’hébergement sont bien souvent plus sécurisées que les datacenter mutualisés que proposent beaucoup de sociétés d’infogérance et d’hébergement. Ceci étant, la sécurité est un sujet sérieux et des certifications doivent être produites par les fournisseurs de solutions CLOUD. Les certifications qui s’imposent sont entre autres SOC1 et SOC2.

Le matériel est-il certifié par SAP ?
En effet, SAP ne certifie pas l’ensembles des fournisseurs CLOUD et impose à ceux qui sont certifiés de respecter certaines pratiques et prérequis.

Comment la maintenance des couches basses est-elle assurée ?
Les temps d’arrêt doivent être communiqués au client avant de contractualiser. Le passage sur le cloud peut parfois devenir un cauchemar quand le fournisseur impose des temps d’arrêt et des upgrades impactant la stabilité de l’application.

Ma solution est-elle évolutive et sous quel délai ?
La flexibilité est un avantage du CLOUD. Cependant, tous les fournisseurs ne proposent pas ce service. Il est important d’étudier ce paramètre pour trouver le bonne configuration matérielle et l’adapter aux pics d’activités connus

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